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31 mars 2010 3 31 /03 /mars /2010 10:12
Pour le présent et pour l’avenir de nos enfants,
pour le développement d’un service public de la petite enfance,
tous ensemble le 8 avril 2010 
Communiqué de la Fédération CGT des Services publics - 24 mars 2010

Le secrétariat d’Etat à la famille a informé le collectif « Pas de bébés à la consigne » d’une proposition de rencontre le vendredi 26 mars 2010.

 

Réunis hier soir, les membres du collectif « Pas de bébés à la consigne », dans lequel la Fédération Cgt des Services Publics a pris toute sa place, ont décidé de se rendre à cette entrevue avec des exigences :


- Le retrait du projet de décret sur l’accueil collectif,

 
- L’ouverture de réelles négociations en faveur d’un plan d’urgence pour l’accueil de la petite enfance et la formation.

 

La Fédération cgt des Services Publics, dans l’attente des réponses gouvernementales, appelle les professionnels à rester mobilisés en préparant la journée nationale de grève et de manifestations de la petite enfance le jeudi 8 avril 2010.

 

Si après cette rencontre, le gouvernement continue à ne pas vouloir entendre les revendications, la Cgt des Services Publics prendra toute sa place dans la construction de la journée nationale d’actions, de grève et de manifestation du jeudi 8 avril 2010.

 

Pour lire le tract "pas de bébé à la consigne" cliquez ci dessous

 

http://www.spterritoriaux.cgt.fr/IMG/pdf_tract_appel_8avril2010.pdflink

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29 mars 2010 1 29 /03 /mars /2010 15:00

Les syndicats CGT O&E et UCIGT-CGT tiendront

 

 le vendredi 2 avril 2010,

 à partir de 9h30,

salle DEWAILLY

une réunion d’information syndicale en direction des agents de la filière "animation"  .

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23 mars 2010 2 23 /03 /mars /2010 22:01
accès aux différents fichiers pour les PM


circulaire du 25 février 2010 aurorisant les PM à accéder aux différents fichiers.

Pour lire la circulaire cliquez sur le lien ci-dessous:
http://www.spterritoriaux.cgt.fr/IMG/pdf_circulaire_fichiers_251022010-7.pdflink

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23 mars 2010 2 23 /03 /mars /2010 21:58

 

La Cgt refuse toute instrumentalisation
mardi 23 mars 2010
Déclaration de Jean-Christophe Le Duigou et Pierre-Yves Chanu, représentants de la Cgt au Conseil d’Orientation des Retraites

Plusieurs journaux font état ce matin des hypothèses d’évolution des différents paramètres de la retraite que le COR serait susceptible d’expertiser, dont le relèvement à 65 ans de l’âge d’ouverture des droits et le passage à 70 ans du seuil ouvrant droit à une retraite à taux plein. « Le ton est donné », commente l’un de ces journalistes parlant de la future réforme.

La CGT qui est bien entendu en désaccord total avec de telles hypothèses, s’étonne que soient ainsi présentées comme étant des scenarii du COR, des simulations réclamées par le patronat, alors que la réunion du COR ne se tiendra que mercredi 24 mars.

La CGT refusera toute instrumentalisation des travaux du COR qui augurerait mal du débat qui doit s’ouvrir sur l’avenir de notre système de retraite.

Montreuil, le 23 mars 2010

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23 mars 2010 2 23 /03 /mars /2010 21:56
Le Chef de l’Etat, le gouvernement et les employeurs doivent répondre aux exigences exprimées !
mardi 23 mars 2010

Le 23 mars 2010, journée interprofessionnelle unitaire d’actions et de manifestations pour l’emploi, les salaires et les retraites est un succès.


Cette mobilisation, d’un bon niveau, s’est traduite par de nombreux arrêts de travail dans le privé comme dans le public avec la participation de 800 000 manifestants recensés à 17 h 00 dans les 180 rassemblements organisés à l’appel de la CGT – CFDT – FSU – UNSA et Solidaires.


La participation à cette journée est d’autant plus appréciable que la plupart des médias ont fait l’impasse sur ce rendez-vous annoncé le 15 février et que la division syndicale a été malheureusement entretenue par certaines organisations. Par cette nouvelle mobilisation les salariés du privé et du public ont réaffirmé leur attachement à la pérennité du système solidaire de retraite par répartition, pour une véritable politique de l’emploi et l’augmentation des salaires.


Après le très fort mécontentement des salariés exprimé lors des élections régionales, l’ampleur des manifestations et de la mobilisation du 23 mars est un nouvel avertissement adressé au gouvernement et au MEDEF.


La CGT met en garde le gouvernement sur l’attitude qui consisterait à maintenir le cap des réformes anti-sociales et à passer en force, ce qui ne manquerait pas d’alourdir encore davantage le climat social dans le pays.

Alors que la dégradation des conditions de vie et de travail est amplifiée, par les effets d’une crise dont ils ne sont en rien responsables, l’ensemble des salariés revendiquent des mesures en faveur de l’emploi, des salaires et pensions, la promotion des Services Publics, et sur les retraites un financement garantissant la retraite à 60 ans, les pensions à 75%, la prise en compte de la pénibilité.


La multiplication des actions revendicatives dans les entreprises privées et publiques ces dernières semaines et la journée du 23 mars traduisent la détermination des salariés à gagner sur leurs revendications. Le gouvernement et le Chef de l’Etat, les employeurs doivent en tenir compte rapidement en répondant aux revendications.


Lors de la prochaine intersyndicale, la CGT proposera d’autres initiatives de mobilisation coordonnées pour le mois d’avril et un 1er Mai unitaire.

Ainsi, les organisations syndicales se réuniront le 30 mars prochain et la CGT fera des propositions en ce sens.

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22 mars 2010 1 22 /03 /mars /2010 21:41

Retraites et pensions

Revalorisation 2010 :
Une véritable provocation
lundi 22 mars 2010, par Frédéric Dayan
Les organisations syndicales de retraités CFE-CGC, CFDT, CFTC, CGT, FO, UNSA et la FGR-FP ont vivement réagi à l’annonce de la revalorisation des pensions pour 2010. Engagées depuis plusieurs années dans un processus d’actions unitaires sur cette question du niveau des retraites, elles parlent de "véritable provocation".

Les 0,9% de revalorisation des retraites et pensions pour 2010 ne compenseront même pas la hausse des mutuelles, assurent les organisations dans un communiqué commun,
"alors même que l’inflation repart avec 0,6% pour le mois de février et qu’une augmentation du gaz entre 6 et 10% est prévue au 1er avril. _La paupérisation des retraités s’accentue, mesure après mesure. Elle est encore plus sensible pour les retraités ayant les plus basses pensions pour lesquels des mesures spécifiques doivent être prises.
Les retraités ne doivent pas être la variable d’ajustement de la crise ! Ils doivent se rassembler et se mobiliser pour revendiquer un niveau de retraite permettant de vivre dignement au 21ème siècle",
invitent ces organisations.
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22 mars 2010 1 22 /03 /mars /2010 14:12

Le second tour confirme la tendance observé
le 14 mars


Elections régionales
/

 

L’expression des électeurs à l’issue du second tour des élections régionales du 21 mars 2010 confirme la tendance déjà observée le 14 mars.

 

Avec une participation au scrutin, certes insuffisante de l’ordre de 51 % l’expression des électeurs est largement représentative.


Ce sont les listes présentées par les différents partis de gauche qui, le plus souvent, sont renouvelées ou qui accèdent à la direction des conseils régionaux. Les candidats issus de la majorité parlementaire, dont des ministres, sont largement minoritaires. Pourtant, la dernière semaine a été consacrée à chercher un plébiscite à la politique gouvernementale par la médiatisation de la campagne du Premier ministre.


La CGT attend des exécutifs régionaux qu’ils soient à l’écoute des attentes sociales.


Le score obtenu par le Front national conforte la CGT dans son combat contre l’exploitation des peurs, le racisme et la xénophobie.


A tendances nationales, il faut des conclusions nationales : c’est bien d’autres orientations dans les domaines économiques et sociaux qui doivent être à l’ordre du jour le plus rapidement possible dans la conduite des entreprises comme dans celle du pays.


Le Président de la République est le premier interpellé par ces votes qui manifestent le très fort mécontentement des salariés, tant du privé que du public, vis-à-vis des politiques en vigueur.


Il apparaît évident que les salariés ne sont pas disposés à être davantage encore les victimes d’une crise dont ils ne sont en rien responsables. Or, les premières déclarations des représentants du gouvernement, tout en reconnaissant une défaite électorale laissent entendre qu’ils feront preuve « de ténacité et de persévérance gardant le cap », notamment pour la réforme des retraites !


Le Président doit prendre en compte les revendications syndicales concernant l’emploi, le niveau des salaires et des retraites comme éléments de justice sociale et facteur de sortie de crise.


La CGT met en garde contre une attitude gouvernementale qui ne manquerait pas d’alourdir encore davantage le climat social dans le pays.


La CGT réitère son appel aux salariés, aux retraités, aux chômeurs à participer très largement à la journée de mobilisations unitaire du 23 mars sur l’emploi, les salaires et les retraites par des arrêts de travail et en assurant le succès des 160 manifestations et rassemblements organisés dans les différents départements.

Montreuil, le 22 mars 2010

 

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18 mars 2010 4 18 /03 /mars /2010 22:06
Budgets 2010 des collectivités locales :

la désobéissance républicaine est nécessaire !


Communiqué de la Fédération CGT des Services publics du 12 mars 2010

La réforme territoriale constitue un hold-up démocratique et financier par la concentration des lieux de décision et des moyens sur les régions, les futures métropoles et les intercommunalités. Le gouvernement vise notamment la réduction drastique du nombre de communes par ’intégration forcée aux intercommunalités. C’est la démocratie de proximité qui est mise à mal ! En concentrant l’essentiel des moyens et pouvoirs sur la région, la métropole et l’intercommunalité, le gouvernement laisse de côté les populations des territoires ruraux et zones urbaines en difficultés, et donc leurs services publics et les agents qui font vivre ces derniers.

En 2009, la taxe professionnelle représentait près de 40% des recettes de fonctionnement des collectivités et les dotations de l’Etat près de 30%. Dans les communes, les ressources fiscales provenaient pour moitié des entreprises et pour moitié des ménages.

Avec la réforme de la fiscalité locale, le gouvernement remplace la taxe professionnelle par une « contribution économique territoriale », représentant un allègement considérable de « charges » pour les entreprises. Pour 2010, le cadeau fiscal consenti à celles-ci s’élève à plus de 12 milliards d’euros. A terme, les impôts locaux reposeront à 25% sur les entreprises et à 75% sur les ménages. Le gouvernement entend par ailleurs conditionner le niveau des dotations de l’Etat à la réduction des dépenses et de l’emploi public local. Au final, c’est le choix entre la hausse des impôts sur les ménages, injuste socialement, et la réduction des services et de l’emploi public. Enfin, l’indispensable réforme du financement des collectivités permettant de corriger les inégalités territoriales est la grande absente de la réforme.

La dernière note de conjoncture de l’Observatoire de la FPT fait état d’un recul de 7% des perspectives de recrutements des collectivités pour 2010 par rapport à l’année précédente. 20% des communes de 20 000 à 80 000 habitants et 33% de celles de plus de 80 000 habitants prévoient une diminution de leurs effectifs. D’ores et déjà, plusieurs milliers de suppressions d’emplois sont programmées dans un nombre significatif de collectivités locales.

Une gestion locale progressiste ne peut se traduire par le choix mortifère entre augmentation de la pression fiscale et réduction des moyens consacrés au service et à l’emploi public.

Dans ce contexte de remise en cause du pacte républicain, les exécutifs locaux ont une responsabilité historique.

Dans le cadre du vote des budgets 2010, la désobéissance républicaine est nécessaire. Les collectivités doivent refuser le diktat du gouvernement et du patronat. Pour cela, les exécutifs doivent voter des budgets de combat et de progrès social garantissant la pérennité des missions et de l’emploi publics, y compris si cela se traduit par le vote de budgets en déséquilibre.

Le gouvernement et ses représentants préfectoraux doivent être ainsi placés devant leurs contradictions : c’est bien sur eux et non sur les élus locaux que doit peser la responsabilité des conséquences de la réforme territoriale et de son pendant financier sur le service public local.

La Fédération CGT des Services publics, ses syndicats et coordinations, sont et seront disponibles pour mener les batailles citoyennes convergentes qui sont et devront être menées dans ce cadre.

L’avenir du service public local et de la démocratie de proximité, et donc de la République décentralisée, sont en jeu.

A l’offensive historique du gouvernement et du Medef, doit correspondre une riposte citoyenne d’ampleur égale !

Montreuil, le 12 mars 2010

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18 mars 2010 4 18 /03 /mars /2010 22:03
Déclaration de la Commission exécutive de la Fédération CGT des Services publics :

Réussir le 23 mars et poursuivre la mobilisation


Sur l’ensemble du territoire, les luttes locales et sectorielles se développent :
- forte mobilisation des personnels de la petite enfance le 11 mars ;
- journée d’action des professions sportives le 10 mars, des infirmières le 11 ;
- luttes nombreuses dans les collectivités territoriales sur l’emploi, les salaires, le service public, les conditions de travail, foisonnement des luttes dans les entreprises privées notamment sur les salaires et l’emploi ;
- mobilisations dans différents secteurs professionnels du public comme du privé.


D’autres mobilisations sont programmées, en particulier dans le logement social le 31 mars, la petite enfance le 8 avril, la police municipale en mai-juin. Ces luttes participent d’un climat revendicatif dynamique, qui atteste de la volonté des salariés de se battre pour gagner sur leurs revendications. Dans le même temps, la déroute de la majorité présidentielle au 1er tour des élections régionales exprime le fort mécontentement des salariés, de la population à l’égard de la politique économique et sociale du pouvoir en place. Dans ce contexte, la construction du rapport de force, nourrie par les luttes en cours et à venir, doit franchir une étape le 23 mars.


La poursuite du processus de lutte au-delà du 23 mars est d’évidence nécessaire. Elle sera d’abord et avant tout fonction de la réussite de cette journée d’action.


La Fédération encourage donc ses syndicats à continuer le travail engagé pour aboutir à un grand 23 mars.


Elle appelle d’ores et déjà à créer partout les conditions d’assemblées générales des personnels dès le 24 mars et dans les jours qui suivent afin de débattre avec les agents des conditions de la poursuite de la mobilisation.

Montreuil, le 18 mars 2010

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16 mars 2010 2 16 /03 /mars /2010 14:52

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                               23 MARS :

Toutes et tous dans la grève et la manifestation

Rendez-vous à 14h30 à la Maison de la Culture

 

A

 l’issue de la rencontre avec le Président de la République du 15 février, 5 organisations syndicales au plan inter-professionnel– la CGT, la CFDT, la FSU, SOLIDAIRES et l’UNSA – ont appelé à « une mobilisation inter-professionnelle unitaire ». Elles  ont décidé « ensemble d’une journée qui donne lieu à des grèves et des manifestations dans tout le pays le 23 mars ».

 

Nous nous inscrivons résolument dans cette perspective d’action.

 

En effet, Nicolas SARKOZY a confirmé, lors de ce « sommet social », qu’il n’entendait pas revenir sur les principales orientations d’une politique dont on constate chaque jour les méfaits : montée du chômage, précarisation exacerbée, crise du capitalisme payée par les salariés, cadeaux aux plus fortunés, etc.

 

Sur l’enjeu fondamental des retraites, nul besoin d’être prophète pour comprendre que, loin de revenir sur les profonds reculs successifs intervenus depuis plus de 15 ans, ce qui est en préparation, ce sont bien de nouvelles détériorations pour tous, titulaires et non-titulaires, privé comme public. Par exemple, rompre avec le principe des 6 derniers mois de traitement pour le calcul de la retraite, c’est programmer une baisse vertigineuse des pensions des fonctionnaires.

Diviser pour mieux régner, la stratégie n’est pas nouvelle.

Remettre en cause la retraite des fonctionnaires n’apporterait rien aux salariés de droit privé.

La CGT propose au contraire de solidariser les salariés du privé et les fonctionnaire en garantissant à tous l’ouverture du droit à la retraite à 60 ans, avec pour une carrière complète qui intègrerait les années d’études et de précarité subies, un taux de remplacement d’au moins 75% du revenu net d’activité.

 

Dans la Fonction publique, le mal est tout aussi profond sur bien d’autres aspects.

 

Les suppressions massives d’emplois mettent à mal la qualité du service public rendu et détériorent gravement les conditions de travail des agents avec des conséquences particulièrement préoccupantes.

 

Les attaques contre le Statut, qui se multiplient, tendent à mettre un terme à l’impartialité et à la neutralité des fonctionnaires, garanties fondamentales pour le citoyen.

 

La réforme des collectivités territoriales, la suppression de la taxe professionnelle sont autant de mesures injustes, de reculs pour la démocratie et de lourds dangers pour le service public, pour les personnels et pour les usagers.

 

La loi HPST (Hôpital santé territoire), la T2A (tarification à l’activité) constituent des régressions majeures pour une politique de santé et d’action sociale solidaire et progressiste et conduisent l’hôpital public au bord du gouffre.

 

La REATE (réorganisation territoriale de l’Etat) ne vise qu’à adapter les structures de la Fonction publique de l’Etat aux coupes de l’emploi public et à instrumentaliser ses missions en faveur des intérêts particuliers au détriment de l’intérêt général.

 

La loi de changement de statut de La Poste, l’ouverture de son capital, contre l’avis des postiers et des usagers, va accentuer la mise à mal le service public postal sur tout le territoire.

 

C’est pourquoi, avec leurs collègues du privé, tous les salariés de la Fonction publique doivent être dans l’action le 23 mars prochain.

 

Avec la CGT, ils revendiqueront notamment :

 

Ä Une forte augmentation des salaires et des traitements, assise sur la valeur du point et le rattrapage des pertes antérieures ;

Ä Une reconstruction de la grille indiciaire.

 

Ä Une meilleure prise en compte des qualifications et la garantie d’au moins le doublement du salaire de tous pour une carrière complète

 

Ä Le maintien et l’amélioration du régime des retraites de tous les agents de la fonction publique

 

Ä  La fin immédiate des suppressions d’emplois et des créations partout où c’est nécessaire ;

 

Ä Le respect des missions publiques, ce qui passe obligatoirement par le retrait et l’abrogation de nombreux dispositifs législatifs et réglementaires régressifs et une véritable politique de réappropriation publique et de développement des services publics ;

 

Ä Un plan de titularisation.

 

Ä De meilleures garanties pour les contractuels

 

Pour la CGT, le 23 mars doit être l’occasion de la riposte unitaire la plus large et la plus forte possible, renforçant ainsi un processus de mobilisations qui devra se poursuivre. C’est pourquoi, dans la Fonction publique, nous continuons à tout mettre en œuvre pour que toutes les organisations syndicales participent à cette action.

 

La CGT appelle les personnels et les usagers à :

 

Ä Amplifier les mouvements revendicatifs en cours

 

Ä Se retrouver nombreux, privé/public, actifs/retraités le 23 mars dans la grève et les manifestations.

 

Ä Peser durablement par toutes les formes d’actions qu’ils décident pour gagner.

 

 

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